Des pommes bios de Villeveyrac à la cantine

Le centre de restauration Le Taurus a commandé 154 kg de pommes bios auprès du groupe d’agriculteurs Dalinette & Cie de Villeveyrac. Ainsi, Dalinsweet, Gold rush et Dalinette seront livrées pour composer les menus des petits Mézois pendant toute la saison de production des fruits. Engagé depuis plusieurs années dans une « démarche qualité », le restaurant municipal atteint aujourd’hui 25% de produits bios* dans ses menus. La cuisine centrale se réfère à la plateforme agrilocal pour ses commandes et s’approvisionne majoritairement de produits frais de la région (viande de Lozère, raisin de Villeveyrac, melons de Mèze, fruits et légumes d’Occitanie). « La part du bio dans les repas des cantines continue d’augmenter régulièrement, précise Daniel Rodriguez adjoint à la restauration collective, associer le bio et les approvisionnements locaux est une vraie volonté de la municipalité et je suis heureux que nous arrivions à travailler dans ce sens avec des producteurs de Villeveyrac. »

*La loi EGALim prévoit que les repas servis en restauration collective dans tous les établissements chargés d’une mission de service public devront compter au moins 20 % de produits biologiques dès 2022.

Serres photovoltaïques :
allier agriculture et énergie renouvelable

 

De nouvelles perspectives s’ouvrent pour les agriculteurs du XXIe siècle. Les avancées technologiques permettent désormais de conjuguer production agricole et d’électricité renouvelable sur une même surface.

L’implantation de serres photovoltaïques représente certainement le futur d’une agriculture en phase avec les grands enjeux environnementaux, tels que la transition énergétique. Trois élus de la Ville de Mèze, Lysiane Estrada, Marie-Lilian Malaviolle et Daniel Rodriguez, sont particulièrement attentifs aux possibilités qui émergent en matière de développement des énergies renouvelables.

C’est la raison pour laquelle ils ont accompagné un exploitant agricole Mèzois, le 30 septembre, à Nîmes, pour visiter les serres photovoltaïques réalisées par la société Reden Solar.

A Mèze, Jacques Duplan, exploitant du Domaine de Farlet, a décidé de s’engager dans cette démarche. Depuis l’an 2000, l’agriculteur exploite 170 hectares en vignes, céréales, vergés et maraîchage Bio. Son projet de diversification nécessite l’installation de serres. D’où, l’idée d’implanter deux hectares de serres photovoltaïques sur ses terres. Une solution qui offre plusieurs avantages. C’est un outil polyvalent et performant pour de nombreuses cultures. Mais c’est aussi un moyen de financement pour un investissement hors de portée pour l’exploitation. La société Reden Solar, spécialisée dans ce domaine, finance l’installation des serres et exploite la production électrique.

Une collaboration particulièrement intéressante pour les agriculteurs, pour les développeurs d’énergie verte et pour la planète, à laquelle souscrit pleinement la Ville de Mèze.

Eco-pâturage au Sesquier 

Le maire de Mèze accueille le berger Michel Ibanez sur les pâturages du Sesquier mis à la disposition des brebis par la Ville de Mèze.

Comme l’an dernier, Michel Ibanez, le berger de Mèze, a installé son troupeau sur les terrains municipaux du Sesquier. Il a été accueilli sur place, ce vendredi après-midi par le maire. Plusieurs hectares sont mis à sa disposition par la Ville durant plusieurs semaines pour nourrir moutons et brebis. L’éco-pâturage est un excellent moyen d’entretenir ces prairies de manière écologique.
Attention toutefois. Les riverains du Sesquier qui fréquentent le parc pour promener leur chien dans le cadre des déplacements autorisés doivent impérativement le tenir en laisse. Les deux patous du berger, s’ils sont adorables avec les humains, n’aiment pas qu’on viennent embêter le troupeau dont ils ont la charge.  Les joggeurs doivent également veiller à s’écarter du troupeau pour respecter la tranquillité des animaux.
Pour rappel, seuls les riverains peuvent fréquenter le parc à condition de respecter scrupuleusement les règles de déplacement dérogatoire en période de confinement : déplacements brefs d’une heure maximum, une fois par jour, dans un rayon d’un kilomètre du domicile, liés soit à l’activité physique individuelle des personnes, soit à la promenade avec les seules personnes regroupées dans un même domicile, soit aux besoins des animaux de compagnie.

Les initiatives des producteurs locaux référencées

Les producteurs locaux organisant des livraisons ont été référencés par la Chambre d’agriculture de l’Hérault et la région Occitanie.

La Chambre d’agriculture de l’Hérault a mis en place, depuis mercredi 25 mars, une carte rassemblant les initiatives des producteurs locaux à l’échelle départementale : Ici  

Vous êtes producteur, contactez La Chambre d’agriculture de l’Héraut pour être référencés.

 

La Région Occitanie a lancé une plateforme interactive, dans le but d’identifier toutes les initiatives de livraison à domicile de produits locaux. Les producteurs peuvent s’y inscrire en quelques clics : Ici

La Saint Vincent « de mille vins » fait carton plein !

La fête de la Saint Vincent est devenue le rendez-vous incontournable de l’hiver. L’édition 2020 a attiré un large public bien décidé à fêter dignement la viticulture locale. Près de 500 personnes ont participé à la soirée vigneronne organisée dans l’ancienne cave coopérative, vendredi 25 janvier. Les acteurs locaux de la viticulture (le caveau de Beauvignac, les domaines Belle Mare, Creyssels, Farlet, Félines Jourdan, La Briffaude, La Croix Gratiot, Les Yeuses, et Morin-Langaran) ont fait découvrir et déguster leurs produits aux visiteurs dans une ambiance particulièrement festive. La fête des vignerons s’est poursuivie dimanche matin sur le marché pour une séance de dégustation au cœur de la ville.

Le programme de la Saint Vincent continue : une exposition sur l’univers des caves coopératives est à découvrir jusqu’au 31 janvier à la Médiathèque Sète agglopôle Méditerranée.

Anaïs Ricôme entre dans le Guide des meilleurs vins de France

Anaïs Ricôme et son père Yves viticulteurs au domaine La Croix Gratiot

La jeune viticultrice Anaïs Ricôme, propriétaire du domaine La Croix Gratiot fait entrer l’appellation Picpoul de Pinet parmi les vins référencés dans l’édition 2020 du fameux Guide Vert des Meilleurs Vins de France.
Après des études viti-oenologiques et une expérience dans un vignoble néo-zélandais, son père, Yves, lui a proposé de reprendre en main le domaine de La Croix Gratiot, un vignoble situé sur Mèze et Montagnac. Elle s’est alors orientée vers une limitation de la superficie à 33 hectares et une culture bio avec une montée en puissance des pratiques biodynamiques. Le guide salue notamment son travail en sélection parcellaire pour ses meilleures cuvées qui ont la particularité d’être élevées pour partie en dolia (jarre) de grès.

Mèze, capitale mondiale des semences paysannes

A l’occasion des rencontres internationales du 7 au 9 novembre, l’équipe du restaurant municipal va servir plus de 2500 repas à base de fruits et légumes issus exclusivement de semences paysannes. Grosse corvée de pluche en perspective !

Les membres du Réseau Semences Paysannes ont choisi Mèze pour l’organisation de leurs rencontres internationales 2019. Du 7 au 9 novembre, 220 paysans, jardiniers, chercheurs et ONG venus du monde entier vont se rassembler au Taurus pour leur séminaire annuel.
Les semences paysannes sont la base de l’alimentation depuis des millénaires. Cela consiste à conserver et réutiliser ses propres semences. Une méthode ancestrale mise à mal par l’agriculture industrielle qui a provoqué, en seulement 50 ans, une perte de 75 % de la biodiversité cultivée.
En France, quelques paysans et jardiniers continuent à sélectionner et à produire leurs propres semences. Ils ont ainsi constitué le Réseau Semences Paysannes (RSP).

Le restaurant municipal Le Taurus s’inscrit totalement dans cet événement. Plus de 2500 repas exclusivement constitués de fruits et légumes issus de semences paysannes seront servis durant le séminaire mais également auprès des enfants dans les cantines jeudi et vendredi midi.
Tout le réseau local s’est organisé pour produire les légumes nécessaires à la production de ces repas. Quelques 120 kilos de carottes, 30 kg de choux et 240 kg de pommes de terre et autres courges et potirons bio ont été semés, il y a plusieurs mois, spécialement pour l’occasion.

Samedi 9 novembre, une journée ouverte au public est organisée au château de Girard. Une occasion de découvrir l’univers des semences paysannes à travers un grand nombre d’animations : forum associatif, exposition sur la diversité cultivée, bourse aux graines et aux plants, initiation à la boulange, à l’art de la greffe, à la production de graines bios… ou comment apprendre à « semer sa résistance ».

Un vigneron mézois certifié « Terra Vitis »

Didier Gomez, premier vigneron coopérateur de Mèze certifié « Terra Vitis »

Son engagement pour une viticulture respectueuse de l’environnement a été officiellement reconnue. Didier Gomez, vigneron coopérateur de la cave de Beauvignac est le premier, et à ce jour le seul Mèzois, à avoir obtenu la certification nationale « Terra Vitis ». Cette distinction ne se limite pas à sa personne. Elle s’inscrit dans une dynamique collective initiée par la cave et à laquelle adhèreront progressivement les autres coopérateurs.
La signature « Terra Vitis » porte sur une démarche globale qui prend en compte l’ensemble du fonctionnement de l’exploitation, son environnement, ses hommes et sa viabilité économique.
« Terra Vitis » est une certification reconnue par l’Etat français et contrôlée par des organismes indépendants. Un domaine certifié Terra Vitis se voit d’emblée attribuer le niveau 2 de Haute Valeur Environnementale par le ministère de l’Agriculture.
Pour Didier Gomez, « l’obtention de la certification Terra Vitis constitue une reconnaissance forte des efforts menés au sein de Beauvignac pour répondre aux exigences de ce que devra être la viticulture de demain. Elle représente aussi une belle valeur ajoutée de notre production, notamment auprès de consommateurs de plus en plus sensibles à une agriculture vertueuse. »
Trois autres vignerons coopérateurs de Beauvignac ont obtenu, cette année, la certification « Terra Vitis ». Il s’agit de Michel Amoros, Jean-Louis Atenzia et Guilhem Bascou, tous trois cultivateurs à Pomérols. Ces quatre pionniers ne sont que les premiers d’une liste qui doit rapidement s’allonger.
Une partie du cru 2019 proposé par Beauvignac sera reconnaissable à l’estampille « Terra Vitis ».


Le label « Terra Vitis » particulièrement prisé rassemble les viticulteurs autour de 6 valeurs communes :

  • promouvoir une viticulture durable, respectueuse de l’environnement ;
  • privilégier avant tout les mécanismes naturels de régulation ;
  • favoriser un environnement sain pour protéger la santé des producteurs, de leurs salariés et des citoyens en général ;
  • assurer la production de raisins sains et obtenir de grands vins en réduisant au maximum le taux de résidus ;
  • accroître la diversité biologique dans les parcelles et leurs alentours ;
  • améliorer la qualité de l’eau, de l’air et du sol viticole.

Le sous-préfet à la vigne

De gauche à droite : Frédéric Morin, Henry Fricou, Didier Gomez, Cédric Menon, Thierry Baëza, Philippe Nucho et Caroline Morin.

Pendant la période des vendanges, Philippe Nucho, sous-préfet du bassin de Thau a tenu à effectuer une visite dans un vignoble de Mèze afin de souligner l’intérêt de l’Etat pour le secteur viticole, qui est, avec la conchyliculture, l’un des principaux piliers économiques du territoire.
C’est dans le domaine de Morin-Langaran que le représentant de l’Etat a été accueilli, le 2 septembre, en présence d’Henry Fricou, maire de Mèze, Thierry Baëza, adjoint à l’environnement et à l’agriculture, Didier Gomez, vice-président de la cave de Beauvignac et de Frédéric Morin, propriétaire du domaine.
« J’ai tenu à rencontrer les professionnels locaux de la viticulture après une saison particulièrement sévère sur le plan climatique avec, successivement, un épisode de gel et une longue période de sécheresse qui ont impacté la production cette année » a indiqué Philippe Nucho. Le sous-préfet a également précisé que « la forte concurrence des importations espagnoles et italiennes s’ajoute à ces difficultés ».
Pour sa part, Frédéric Morin évalue sa perte de production à environ 30% pour la récolte 2017.
Sensible aux problèmes rencontrés cette année par les viticulteurs Mézois, Henry Fricou a, quant à lui, fait part de son espoir « que la récolte soit tout de même à la hauteur des espérances et, surtout, que la qualité soit au rendez-vous ».

Lutte biologique dans les vignobles de Mèze

Actuellement, une nouvelle méthode de lutte biologique, la confusion sexuelle, contre des parasites de la vigne est expérimentée sur 150 hectares de vignobles mézois.
Le principe de la technique est de perturber la phase de rapprochement des papillons mâles et femelles par émission de phéromones synthétiques en grande quantité. Ces phéromones reproduisent la substance naturelle émise par la femelle pour attirer le mâle. Dans l’atmosphère saturée en phéromone, les mâles sont incapables de localiser les femelles et les accouplements sont moins nombreux. Il en découle moins d’œufs, moins de chenilles et par conséquent moins de dégâts sur les raisins. La technique de la confusion sexuelle présente de nombreux avantages : absence de toxicité pour l’utilisateur (mais nécessite tout de même le port de gants durant la pose des diffuseurs), respect de la faune auxiliaire, absence de résidus sur les raisins et respect de l’environnement.

Didier Gomez, viticulteur, vice-président de la cave coopératives de Pomerols, Mèze, Castelnau-de-Guers et Thierry Baëza, adjoint à l’environnement de la Ville de Mèze présentent cette expérimentation dans ce reportage vidéo.

Les melons « Bio » de Mèze

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Hugues Ricome, agriculteur Mèzois et Thierry Baëza, adjoint à l’environnement sur le champs de 30 hectares de melons Bio cultivés sur le domaine de Farlet.

Tout a commencé il y a 5 ans avec 8 hectares de melons cultivés en « Bio » sur les quelque 200 hectares que compte le domaine de Farlet, au Nord de Mèze. Depuis qu’il s’est engagé dans cette démarche, le cultivateur Hugues Ricome a étendu sa production à 30 hectares.
Bien sûr, qui dit Bio dit contraintes particulières. Comme l’explique l’agriculteur Mézois, « il ne suffit pas de claquer des doigts pour obtenir le label du jour au lendemain. D’abord, un champ doit être cultivé selon les critères du Bio durant trois ans avant de pouvoir obtenir la certification. Il est aussi nécessaire que toutes les terres voisines soient cultivées en Bio. C’est le cas sur le domaine de Farlet où l’on trouve des vignes et des céréales exclusivement Bio. De plus, afin que les parasites ne prolifèrent pas d’année en année sur une culture, il faut systématiquement alterner l’utilisation des parcelles entre melons et céréales. Enfin, tout apport d’engrais chimiques ou de pesticides est évidemment prohibé. Le sol est donc enrichi à l’aide d’engrais naturel. Tout le désherbage s’effectue à la main. Il faut donc accepter de travailler plus, avec plus de pertes dans la production. D’où un surcoût logique pour le consommateur. »
Mais la demande en Bio ne cesse de croître. Si les acheteurs sont avant tout motivés par les bénéfices en matière de santé, il faut souligner que l’agriculture Bio répond également aux préoccupations environnementales par l’élimination de produits chimiques. Un enjeu d’autant plus crucial sur le bassin versant de l’étang de Thau qu’il contribue directement à la préservation du milieu lagunaire.
Pour Thierry Baëza, adjoint à l’environnement, « la démarche d’Hugues Ricome n’est pas la seule mais elle a valeur d’exemple. Je rappelle que depuis plusieurs années, la Ville de Mèze encourage le développement de l’agriculture Bio sur son territoire par l’exonération de taxe foncière sur toutes les parcelles cultivées selon ce principe ».

Le restau municipal sert exclusivement de la viande française

Les éleveurs Français manifestent actuellement dans tout le pays pour la revalorisation des prix de leur production. Ils font face, notamment, aux tarifs très bas pratiqués sur des viandes d’importation issues d’élevages intensifs au détriment le plus souvent de la qualité.

Le service municipal de restauration collective sert exclusivement de la viande française
Le service municipal de restauration collective sert exclusivement de la viande française

A son échelle, le service de restauration municipale de Mèze participe au maintien de l’agriculture nationale. Toutes les viandes servies en restauration collectives par la cuisine du Taurus sont exclusivement issues d’animaux élevés et abattus en France par des éleveurs Français. Les viandes de bœuf, de porc et d’agneau proviennent d’un fournisseur Lozérien et les volailles sont achetées chez un éleveur de Lattes dans l’Hérault. 

Depuis 3 ans, l’exigence de l’origine française pour toutes les viandes servies par le restaurant municipal est inscrite dans le cahier des charges des marchés publics de la municipalité. Les produits livrés sont systématiquement contrôlés dans les camions.

Certes, le coût est un peu plus élevé que pour les produits d’importation. Mais cet effort de la Ville répond à une exigence forte en termes de qualité, d’autant que le restaurant municipal sert quasi exclusivement de la viande fraîche et régulièrement de la viande Bio. A titre indicatif, le service de restauration du Taurus sert plus de 10 tonnes de viande par an.

La journée des abeilles

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De gauche à droite, Christophe Morgo, conseiller départemental, Christian Pons, président de l’Abeille Héraultaise, Yves Piétrasanta, vice-président de la Région Languedoc-Roussillon délégué à l’environnement et Henry Fricou, maire de Mèze assistent à une démonsrtation d’extraction du miel.

La Ville de Mèze a accueilli, le 19 juin dans la salle Bondon, la journée Apidays organisée sous l’égide de l’Union Nationale de l’Apiculture Française en partenariat avec la Région Languedoc-Roussillon.

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Yves Piétrasanta et Henry Fricou en pleine dégustation de miel tout juste extrait des cadres de ruche…

Apidays est une manifestation qui participe, à l’échelle nationale, à la sensibilisation du grand public, et notamment des enfants, à l’importance des abeilles qui sont de véritables sentinelles de l’environnement. Ces insectes indispensables à la nature et à l’homme sont aujourd’hui gravement menacés par l’utilisation des produits chimiques toxiques dans l’agriculture moderne.

Au cours de la journée, des élèves des écoles de Mèze et des alentours ont pu assister à des animations sur les abeilles, à des démonstrations d’extraction de miel et surtout, déguster le miel délicieux produit sous leurs yeux.

 

300 bergers dans la garrigue

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Un berger, un chien de berger, un troupeau de brebis, deux chèvres… et 300 amoureux de nature, familles, enfants, marcheurs, flâneurs venus retrouver le bonheur simple d’une promenade pastorale. La transhumance Mèze – Villeveyrac a connu un succès allant au-delà de toute espérance. Dans une ambiance sereine et champêtre, le cortège a escorté Michel Ibanez et son troupeau de « Tarasconnaises »  sur un parcours d’une dizaine de kilomètres à travers les garrigues de Villeveyrac, Loupian et Mèze.
Cette petite transhumance a été organisée à l’initiative de Thierry Baëza, adjoint à l’environnement de la Ville de Mèze. Henry Fricou, maire de Mèze, Christophe Morgo, maire de Villeveyrac et Alain Vidal, maire de Loupian sont venus sur le chemin pour saluer le berger et les participants qui attendent tous déjà la prochaine édition.

Découvrez la vidéo de la transhumance de Mèze

Visionnez l’album photo de la transhumance

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